figures de style série 3
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figures de style série 3
1.Notre vie tu l’as faite elle est ensevelie
Aurore d’une ville un beau matin de mai
Sur laquelle la Terre a refermé son poing (Eluard)
2.Et l’avenir mon seul espoir c’est mon tombeau (Eluard)
3.Dit d’un jour
La rue était absurde et la maison amère
Le jour était glissant la nuit était malade (Eluard)
4.Et je vis au-dessus de ma tête un point noir.
Et ce point noir semblait une mouche dans l’ombre. (Hugo)
5.Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
Pour elle seule, hélas ! cesse d’être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraichir, en pleurant. (Verlaine)
6.De l’éternel azur la sereine ironie
Accable, belle indolemment comme les fleurs,
Le poète impuissant qui maudit son génie
À travers un désert stérile de Douleurs. ( Mallarmé)
7.Un soir de demi-brume à Londres
Un voyou qui ressemblait à
Mon amour vint à ma rencontre ( (Apollinaire )
8.Au tournant d’une rue brûlant
De tous les feux de ses façades
Palies du brouillard sanguinolent
Où se lamentaient les façades
Une femme lui ressemblant ( à mon amour ) Apollinaire
Aurore d’une ville un beau matin de mai
Sur laquelle la Terre a refermé son poing (Eluard)
2.Et l’avenir mon seul espoir c’est mon tombeau (Eluard)
3.Dit d’un jour
La rue était absurde et la maison amère
Le jour était glissant la nuit était malade (Eluard)
4.Et je vis au-dessus de ma tête un point noir.
Et ce point noir semblait une mouche dans l’ombre. (Hugo)
5.Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
Pour elle seule, hélas ! cesse d’être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraichir, en pleurant. (Verlaine)
6.De l’éternel azur la sereine ironie
Accable, belle indolemment comme les fleurs,
Le poète impuissant qui maudit son génie
À travers un désert stérile de Douleurs. ( Mallarmé)
7.Un soir de demi-brume à Londres
Un voyou qui ressemblait à
Mon amour vint à ma rencontre ( (Apollinaire )
8.Au tournant d’une rue brûlant
De tous les feux de ses façades
Palies du brouillard sanguinolent
Où se lamentaient les façades
Une femme lui ressemblant ( à mon amour ) Apollinaire
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