encore un peu de figures de style? volontiers, volontiers!
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encore un peu de figures de style? volontiers, volontiers!
1. C'est un trou de verdure où chante une rivière (Rimbaud)
2. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis (Baudelaire)
3. Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement. (Baudelaire)
4. Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. (baudelaire)
5. Que veux-tu? bel enfant, que te faut-il donner
Pour rattacher gaiment et gaiment ramener
En boucles sur ta blanche épaule
Ces cheveux qui du fer n'ont pas subi l'affront,
Et qui pleurent épars autour de ton beau front,
Comme les feuilles sur le saule?
6. ... La froide bise
Sifflait; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
OPn n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des coeurs vivants, des gens de guerre,
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sur le ciel noir.
La solitude, vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul. (Victor Hugo, Waterloo)
2. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis (Baudelaire)
3. Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement. (Baudelaire)
4. Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. (baudelaire)
5. Que veux-tu? bel enfant, que te faut-il donner
Pour rattacher gaiment et gaiment ramener
En boucles sur ta blanche épaule
Ces cheveux qui du fer n'ont pas subi l'affront,
Et qui pleurent épars autour de ton beau front,
Comme les feuilles sur le saule?
6. ... La froide bise
Sifflait; sur le verglas, dans des lieux inconnus,
OPn n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Ce n'étaient plus des coeurs vivants, des gens de guerre,
C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,
Une procession d'ombres sur le ciel noir.
La solitude, vaste, épouvantable à voir,
Partout apparaissait, muette vengeresse.
Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse
Pour cette immense armée un immense linceul. (Victor Hugo, Waterloo)
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